mise au vert

Ces dernières années, les thématiques de l’empreinte carbone et de la durabilité d’un produit ou d’un service prennent de plus en plus de place dans nos sociétés. Et ce, quel que soit le secteur concerné. Si les innovations sont bien visibles dans certains pans de l’économie, d’autres travaillent dans l’ombre afin de proposer des solutions plus vertueuses.

Industrie, énergie, agriculture, transport : Quand la digitalisation permet de limiter l’empreinte carbone

Tout domaine confondu, la digitalisation d’une technologie, d’un produit ou d’un service permet souvent de réduire son empreinte carbone. Si la consommation énergétique du numérique pose elle aussi quelques questions, digitaliser est souvent aussi vecteur d’une plus grande sobriété énergétique. Notamment dans les secteurs cherchant à assurer une transition entre le physique et le numérique comme l’édition de journaux ou de magazines. 

Évidemment, la digitalisation pour se mettre au vert est aussi présente dans de très nombreux secteurs. Nous pensons notamment aux boutiques de prêt à porter mais aussi aux métiers de conseils. Pour ces secteurs, la digitalisation permet de limiter les bureaux ou les postes physiques. A noter que de nombreuses entreprises à travers le monde se dotent aujourd’hui d’une politique RSE de plus en plus ambitieuse afin de limiter leur empreinte carbone. Pour l’ensemble de ces secteurs, la crise sanitaire et la fermeture des boutiques physiques a également contribué à accélérer une transition déjà entamée. 

Dans le secteur de l’industrie, la digitalisation est aussi utilisée comme un levier de réduction des émissions de gaz à effet de serre. En 2019, le secteur a annoncé vouloir réduire de plus de 80 % ses émissions de CO2 à l’horizon 2050. Certaines entreprises, réputées très polluantes comme les constructeurs automobiles s’engagent aujourd’hui sur le terrain de la neutralité carbone, à des horizons relativement proches (2030 pour la marque Porsche par exemple). Lors du forum économique mondial de 2019, les experts réunis ont estimé que le déploiement des technologies du numérique dans les secteurs de l’énergie, l’industrie, l’agriculture et le transport pouvaient faire baisser la facture carbone de 15 % à l’échelle mondiale. 

développement durable

Les casinos s’engagent aussi dans une pratique de jeu durable

Que ce soit par conviction, par intérêt ou par mimétisme, les casinos en ligne ont bien compris l’intérêt à proposer une expérience de jeu axée sur la durabilité. Aujourd’hui, de nombreux opérateurs en ligne utilisent des sources d’énergie renouvelables comme le solaire ou l’éolien, deux sources d’énergie infiniment moins polluantes que les énergies fossiles. Si les sources d’énergie constituent un sujet prépondérant, il ne s’agit pas du seul axe à considérer pour les casinos en ligne.

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Aujourd’hui, beaucoup de casinos en ligne travaillent aujourd’hui sur l’efficience de leurs serveurs. En cherchant à proposer des serveurs à haut rendement énergétique et conçus pour consommer moins de ressources à niveau de performance et de fiabilité égal. Car pour les casinos en ligne comme d’autres secteurs, la question de la durabilité doit se conjuguer avec le maintien d’un service de qualité. De ce point de vue, l’optimisation des logiciels ou des technologies est une piste que les casinos en ligne creusent régulièrement. Plusieurs études tendent d’ailleurs à démontrer un lien entre réalité virtuelle et réduction de l’empreinte carbone. Les casinos en ligne s’engagent aussi sur la thématique de l’intelligence artificielle qui pourrait permettre d’assurer l’efficience maximale des jeux proposés. En prenant notamment en compte des paramètres écologiques.

Dans le secteur des casinos en ligne, la mise au vert du secteur passe aussi par plus de digitalisation. La multiplication de casinos en ligne (Source: https://actufinance.fr/jeux-argent/nouveau-casino-en-ligne/) permet de réduire le besoin de casinos terrestres, beaucoup plus gourmands du point de vue des émissions carbone. La crise sanitaire de la covid-19 a donné un premier aperçu avec un afflux massif des joueurs de casinos physiques vers les casinos en ligne qui constituaient alors les seules possibilités de divertissement pour les joueurs.

Les compensations carbones, très utilisées dans le BTP et l’aéronautique 

Si la digitalisation est une piste à explorer pour réduire ses émissions carbones, il est possible de s’orienter vers d’autres solutions. Comme la compensation carbone qui repose sur un principe simple : un engagement de l’entreprise à compenser sa consommation carbone par des actions vertueuses visant à. Grâce à ce procédé, certaines entreprises affichent aujourd’hui fièrement un bilan carbone négatif.

Depuis plusieurs années, le marché des crédits carbone s’embrase à mesure que les pouvoirs publics, les entreprises et même les particuliers poussent ces sujets sur le devant de la scène après les avoir souvent cachés sous la table. Les acteurs privés sont de plus en plus nombreux à recourir aux compensations carbones pour compenser des activités parfois énergivores. Ce genre de pratiques est aujourd’hui courante dans l’aéronautique ou encore le BTP, deux secteurs particulièrement gourmands au niveau de l’empreinte carbone. Si l’on prend l’exemple de l’aéronautique, les compagnies aériennes proposent aujourd’hui plusieurs plans de compensation des émissions carbones à l’attention des voyageurs. Si certains regretteront le fait de faire porter le risque aux utilisateurs, d’autres notent qu’elles sensibilisent de plus en plus aux problématiques environnementales et à l’impact concret de leurs activités.

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